Sieste, Canicule et petits vacanciers
Il faisait canicule ce jour là et Robert tres musclé et nus fait la sieste . Le jeune Vincent, un ami en vacances vient le rejoindre dans le lit, il regarde son gros penis et le suce sans le reveiller. Robert se reveille doucement et gémit de plaisir en sentant la bouche chaude de Vincent sur son érection. Il ouvre les yeux et regarde son ami qui le regarde en souriant, les joues rouges et les lèvres brillantes de salive. Les deux hommes se mettent à l'aise et commencent à s'embrasser passionnément, la langue de Vincent explorant la bouche de Robert, qui gémit encore plus fort à la sensation. Mais Robert a plusieurs garçons en vacances chez lui et ils arrivent tous les un apres les autres, retirent leurs petit slips blanc avec leurs bites en erection et malgré la transpiration de la canicule sur ce lit, ils s'entassent dans les draps. Les mains et les bouches se promènent partout, les gémissements s'accumulent dans la pièce, les bites se frottent les unes contre les autres, les culs se serrent sur les queues dures. Robert encule de sa grosse bite bronzé les anus chauds et ouverts des garçons, les poussant dans les draps humides de plaisir. Vincent regarde tout le spectacle les mains dans les cheveux de Robert, les dents serrées sur les mots sales qui sortent de sa bouche, sentant son éjaculation imminente. Mais David, petit blond vicieu, entreprie de lecher l'anus enorme et poilu de Robert . Celui si leva son enorme tete en arieree et son corps d'egoulinand de sueur, tout les muscles en tension, les veines sorties, il hurla un son bestial en sentant les langues des garçons se frotter les unes sur les autres dans son cul. Les garçons rient en sentant les spasmes de Robert, qui se pencha en avant pour que David puisse le sucer à son tour. Vincent prit sa place et s'enfonça dans le cul de son ami, les deux se déplaçant rythmiquement, les visages des deux garçons se frottant les uns sur les autres, les langues dans les bouches et les culs dans les bouches. Le jeune Dorian avec sa grosse bite enfonça brutalement son engin l'enorme cul de robert et celui çi sentit les deux bites se frotter dans son trou du cul. Il hurla encore plus fort, les murs de la chambre tremblaient, les meubles craquaient sous les coups de bassin de Vincent et David. L'odeur du sexe emplissait la pièce, les gémissements et les rires se mélangent dans la chaleur de l'apres midi, les corps brillaients de sueur.
Robert, les joues cramoisies, les dents serrées, sent les deux bites se frotter à l'intérieur de son anus, les deux queues se battant pour s'enfoncer encore plus loin dans son trou chaud. Il gémit encore plus fort, les mains de Vincent serrant les fesses de Robert pour l'aider à garder le rythme, les deux amants se mélangeant dans une danse érotique sans fin. Les garçons, les yeux brillants d'excitation, regardent les deux bites s'enfoncer dans le cul de Robert, les veines gonflant sur les queues et les tétons durs de Vincent à la surface de sa peau. L'atmosphère est lourde de passion et de luxure, les draps collés à la peau des garçons par la transpiration, les murs de la chambre se couvrent de taches de sueur. Le petit louis mordis les lèvres de Robert, son visage en train d'exploser de plaisir. David pris les enormes pecs de Robert avec des tetons gonflés entre ses mains et les malaxe, tout en suçant sa queue et en le regardant les yeux dans les yeux.
Dorian, la respiration sifflante, continue de pousser sa bite dans les profondeurs de Robert, sentant les muscles se resserrer sur sa queue à chacun de ses coups de rein. La douleur et le plaisir se mélangent dans les gémissements de Robert, qui ne peut plus retenir les mots les plus crus. "Plus fort", "plus vite", "encore plus profond", les supplique se font entendre dans la pièce, les garçons obéissant à chacune de ses demandes sans retenue. Vincent accélère son rythme, son visage rouge de plaisir, les veines de son cou se gonflent à chacune de ses poussées, il sent les couilles de Robert heurter les siennes à tout moment. dehors, la canicule redoublé au file des heures et Roberts et ses sept amis transpirer toujours, corps glissant et bites ruisselant de pre-ejaculat.
Pendant ce temps, les six autres garçons, ne voulant pas manquer à l'action, se mettent à sucer les bites de chacun d'eux à tour de role, les mains dans les cheveux, les doigts dans les boucles d'oreilles, les pieds dans les mains, les langues dans les culs, les bouches dans les bouches. La pièce est remplie de bruit de succions et de gémissements, les meubles grincent et les lits grondent sous les assauts ininterrompus des corps en ébullition. Les draps s'emmêlent et les matelas s'affaissent, les garçons ne se soucient que de la sensation de la chair dure et humide dans les mains, dans les bouches, dans les culs.
Thomas, un brun au corps fin, s'agenouilla entre les jambes de Robert et commença à sucer sa queue gonflée, tout en caressant les couilles de son ami. Robert gémit encore plus fort à la sensation supplémentaire, les jambes tremblant de plaisir, les pieds se cramponnant à la tête des deux garçons qui le prenaient en sandwich. L'odeur de la sueur mélangée à la muscade des bites en érection emplissait la pièce, les gémissements se mélangeant à la respiration sifflante des garçons, à la limite de l'évanouissement à cause de la chaleur et du plaisir intense.
Dorian, sentant la fin approcher, accéléra encore plus, poussant profondément dans le cul de Robert à un rythme effréné, les gémissements de ce dernier se transformant en cris de bête, les muscles de son dos se tordant dans une parodie de douleur et de plaisir. Les six autres garçons continuaient à se caresser et à se sucer, les mains errant sur les corps transpirants, les doigts cherchant les zones les plus sensibles, les langues dans les aisselles, dans les oreilles, dans les culs offerts sans retenue. Le gros Robert de toute sa virilité , les pieds dans les airs, la tête qui roule sur les oreillers, les jambes qui s'agrippent à la tete de Thomas, il hurla son plaisir, son sperme chaud gicla dans la bouche de David qui l'avalai gouluement, les yeux roules en arrire dans les orbites, les mains qui s'accrochaient à la tête des deux garçons.
Vincent, à bout de forces, sentit les couilles de Robert se gonfler encore plus, les veines de sa queue se tendirent, et il sut que son ami allait bientôt jouir. Il redoubla d'efforts, poussant sa langue dans les fesses de Robert, le mordillant doucement, le poussant à la limite. Robert se cabra dans les draps, les muscles de son ventre se contractant, les pieds tapant dans les fesses de Thomas, qui à son tour, accéléra les coups de langue sur la queue de Robert. Les garçons dans la pièce, excités par les cris et les odeurs, se masturbaient frénétiquement, les queues dans les mains, les seins dans les bouches, les doigts dans les trous, les pieds dans les bouches, les langues partout.
Dorian, les mains sur les fesses de Robert, le tenant fermement, sentit les parois de son anus se resserrer autour de sa bite, les spasmes du plaisir commencer à le secouer, et il ne put retenir son éjaculation. Son sperme chaud remplit le cul de Robert, qui hurla de plaisir en sentant les jets de son ami. Vincent, ne voulant pas manquer une goutte, se retira rapidement et pointa sa langue pour attraper les giclées qui s'échappaient, les partageant ensuite avidement entre les deux amis, les lèvres et les langues se frottant dans une étreinte érotique.
Les garçons se regroupent encore plus, les langues et les mains se baladant sur les tétons durs, les queues encore gonflées et les culs humides de la fête. La chaleur dans la pièce est presque insupportable, les gouttes de sueur tombant des visages et des poitrines sur les draps en tas. Tous les regards se portent sur les deux amants, qui se délectent de la jouissance partagée, les visages empreints de satisfaction.
Dorian, les jambes tremblantes, se retire de Robert, la queue encore raide et couverte de la sueur de son partenaire. Il s'effondre sur le lit, la bouche ouverte dans un sourire béat, les joues rougies par l'effort. Vincent, à son tour, libère les belles fesses de Robert, les marques de dents et les traces de bave encore visibles dans la chair bronzée. Tous les deux se regardent, les regards embués par la passion, les souffles courts et les cœurs battant à tout rompre.
Pendant que les deux se reprennent, les six autres garçons ne restent pas les bras croisés. L'excitation dans la pièce est palpable, et chacun cherche à se satisfaire les uns les autres. Les paires se forment, les mains s'enlacent, les queues se rencontrent dans les airs, les langues se mélangent dans les bouches ouvertes. On peut entendre les bruits de succions et les gémissements dans les coins les plus reculés de la chambre. Les draps, autrefois propres, ne sont plus que des lambeaux trempés de sueur et de sperme, les preuves tangibles de la débauche qui s'est emparée de la pièce. Des bras , des jambes, des bites dans des anus rougies et des bouches, tout bouge dans un ballet chaotique de plaisir.
Thomas, qui a abandonné la queue de Robert, s'est retourné vers l'un des garçons et commence à le sucer, les jambes dans les airs, les pieds dans les mains de l'un de ses amis qui le caresse les pieds et les orteils. Le garçon à qui il rend ce service gémit de plaisir, les mains dans les cheveux de Thomas, les doigts serrant les draps en dessous de son cul. David, quant à lui, ne peut s'empêcher de se masturber en regardant le spectacle, la bouche encore pleine du goût de Robert, les narines enivrées par les odeurs de sexe mélangées à la chaleur de l'après-midi. doucement, tous doucement, l'orgie de sperme et de sueur se propage dans la pièce, les garçons se laissant aller à leurs pulsions les plus primitives, sans retenue ni honte.
Le blondinet, Mathis, s'approche de la tête des deux amants et commence à les embrasser, les mélangeant dans un baiser plein de salive et de passion. Son corps s'étale sur les deux, les tétons roses et les abdos durs frottant la peau brûlante de Robert et les joues de Vincent, les langues se croisent, les dents s'entrechoquent dans une étreinte sans fin. Pendant ce temps, les deux garçons continuent de jouer les uns sur les autres, les mains qui caressent les queues, les seins, les culs, les pieds qui frottent les bites, les langues dans les bouches et les oreilles, les morsures dans les cous. La fatigues et les couilles se vidant Roberts et ses jeunes amis s'endormirent les un apres les autre et Robert et Vincent s'allongerent tout nus sur les draps colles à la sueur, les bouches ouvertes et les langues pendantes, les veines encore gonflées de plaisir, les visages rougis par les baisers et les caresses. Robert s'endormie avec son enorme bite rougie de douleurs des plaisir de la sieste, toujours dure et tendus vers le plafond, et dans la chaleurs de la canicule, le silence dans la maison se fit sentir a part les grillons qui chantaient a l'exterrieur. La canicule est prevu pour la semaine pensa Robert en s'endormant en regardant les petits culs de ces garçons encore serres dans les draps.
La soirée tomba, les garçons se reveillent tout doucement, les regards encore dans les brumes de la sieste érotique. L'air chaud de la pièce les enveloppent dans une bulle de plaisir et de parfums de sexe, les draps collent encore à la peau, les traces de sperme secs sur les abdos de chacun d'eux. Lentement, les garçons se lèvent, les muscles endoloris par les ébats, les queues encore dures, les lèvres encore gonflés, les fesses encore rouge de la fessée que Robert aimait tant à infliger. Chacun à son tour, les garçons sortent de la pièce pour se doucher, laissant les deux amants seuls, les regards chargés de ce qu'ils venaient de vivre. Sieste pour demain! lança David et les rires fusent dans la chaleur de la pièce.